Bien que la technologie soit désormais ancrée dans la vie quotidienne de nos enfants, les filles restent à la traîne des garçons dans les domaines des sciences, de la technologie, de l'ingénierie et des mathématiques. Selon le Fondation nationale de la scienceEn 2012, les femmes ont obtenu 43 % des licences en mathématiques et statistiques, 41 % en sciences physiques, 18 % dans des domaines technologiques tels que l'informatique et 19 % en ingénierie.Pourquoi en est-il ainsi ? Aux États-Unis, les stéréotypes culturels impliquent que les filles sont moins douées que les garçons dans les domaines technologiques. C'est pourquoi les filles commencent à croire qu'elles ne sont pas douées pour les mathématiques, les sciences et même l'informatique dès leur plus jeune âge.Les filles sont généralement moins exposées aux activités liées à la technologie. Dès leur plus jeune âge, les filles et les garçons sont invités à jouer avec différents types de jouets. Dès l'école primaire, les filles passent moins de temps à jouer avec des jeux informatiques, des jouets technologiques, des jeux spatiaux et des jouets et kits scientifiques. En sixième année, les garçons passent plus de temps que les filles à jouer avec des jouets électriques en dehors de l'école.Nouveau recherche de l'Institute for Learning & Brain Sciences (I-LABS) de l'université de Washington a étudié les raisons de cette disparité et ce qui peut être fait pour encourager davantage d'étudiantes à s'intéresser aux STIM. Les chercheurs ont voulu savoir si les parents et les éducateurs offraient les mêmes expériences aux garçons et aux filles, ce qui changerait l'intérêt des filles pour les STIM et leur réussite dans ce domaine. L'étude, publiée dans la revue Journal of Experimental Child Psychology (Journal de psychologie expérimentale de l'enfant)L'étude a porté sur 96 enfants de six ans - moitié garçons et moitié filles - qui ont été répartis au hasard dans l'un des trois groupes. Dans le premier groupe, chaque enfant programmait un robot et répondait ensuite à des questions d'enquête. Dans le deuxième groupe, chaque enfant a joué à un jeu de cartes racontant des histoires, puis a répondu aux mêmes questions. Les enfants du troisième groupe n'ont répondu qu'aux questions. L'enquête a été conçue pour recueillir les opinions des enfants sur les activités technologiques, comme le robot, et leurs croyances sur la question de savoir si les filles ou les garçons sont plus doués pour la programmation informatique et la robotique.Pour l'activité sur les robots, les enfants ont choisi un robot sur le thème des animaux. Ils ont d'abord suivi des instructions pas à pas sur un smartphone pour ordonner au robot d'avancer, de reculer, de se déplacer à droite ou à gauche. Ils ont ensuite saisi eux-mêmes les instructions pour programmer le téléphone afin de contrôler les mouvements des robots. Les chercheurs ont constaté que les garçons comme les filles ont apprécié l'expérience de la programmation des mouvements du robot. La conclusion la plus importante est que cet exercice a permis aux filles d'atteindre le niveau d'intérêt et de motivation des garçons pour les STIM. En fait, lorsqu'elles ont été exposées à une activité de programmation informatique, les filles de 6 ans ont manifesté un plus grand intérêt pour la technologie et une attitude plus positive à l'égard de leurs propres compétences et capacités que les filles qui n'ont pas essayé l'activité. L'activité robotique a permis de réduire de 42 % l'écart entre les sexes en matière d'intérêt pour la technologie et de 80 % l'écart en matière de confiance en soi. Malheureusement, l'activité robotique n'a pas semblé modifier les stéréotypes des enfants sur la question de savoir si les garçons ou les filles sont meilleurs en programmation et en robotique. Bien que les filles qui ont programmé le robot aient fait preuve d'une plus grande confiance en leurs propres capacités, ce point de vue n'a pas modifié les stéréotypes déjà ancrés en elles par la culture américaine. Les chercheurs suggèrent que la pratique régulière d'activités liées aux STIM pourrait aider les enfants à surmonter ces stéréotypes. L'une des idées est de faire rencontrer aux enfants des femmes scientifiques, des ingénieurs et des programmeurs informatiques pour qu'ils entendent parler de leur travail. Les chercheurs espèrent tester cette théorie dans de futures études.Dans l'ensemble, les résultats de l'étude montrent qu'il est à la fois nécessaire et possible d'enseigner les activités STIM dès l'école primaire. Lorsque les jeunes filles sont exposées à ce type d'activités, elles s'y intéressent davantage dès leur plus jeune âge. Le conseil le plus important donné par les chercheurs est de s'assurer que les activités sont accessibles à tous les enfants - filles et garçons - d'une manière amusante afin de les intéresser aux STIM.Vous pouvez encourager vos filles à s'intéresser davantage aux STIM en les inscrivant à des camps d'été, à des programmes parascolaires et à d'autres activités. Essayez de visiter des musées scientifiques ou des parcs à thème comme Legoland qui mettent l'accent sur les activités STIM. Pour plus d'idées, consultez les sites suivants 5 livres d'images pour intéresser les enfants aux STIM et 10 façons simples d'encourager les filles à aimer les STIM.
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Deux enfants et deux expériences différentes plus tard, il m'apparaît clairement que nos bébés naissent prêts. Tout ce dont ils ont besoin, c'est que nous soyons prêts à les écouter et à leur répondre.
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